SAINTE-MENEHOULD, ch.-l. d’arr. (Marne), à 40 kil. BALLENSTADT, v. du duché d’Anhalt-Bernbourg, sur le Getel, à 25 kil. SAINTE-MARIE-D’OIGNIES, bg de Belgique (Hainaut), sur le canal de Charleroi, à 2 kil. LEMAISTRE (Jean), avocat général, puis président du parlement de Paris (1591), rendit, le 28 juin 1593, le célèbre arrêt par lequel tous traités faits ou à faire pour l’élévation de personnages étrangers au trône de France étaient déclarés nuls comme contraires à la loi salique et autres lois fondamentales du royaume. Il fut censuré par l’archevêque de Paris Harlay comme suspect de jansénisme et se vit forcé de se démettre. Elle fut presque détruite par un incendie en 1719. Concini y signa en 1614 un traité avec les nobles révoltés. Il figura avec distinction dans la plupart des guerres que Henri IV et Louis XIII eurent à soutenir, fut nommé en 1614 colonel général des Suisses et en 1622 maréchal de France. Le prince de Condé s’en empara en 1652; Louis XIV la reprit l’année suivante. Scévole s’associa dans ce dernier travail ses trois fils : Pierre Scévole, Nicolas Charles et Abel Louis. Scévole de Ste-M., dont le véritable nom était Gaucher qu’il échangea contre celui de Scévole, Scævola, qui en est la traduction latine, né en 1536 à Loudun, m. en 1623, fut contrôleur général des finances en Poitou, puis président des trésoriers de France
Le nom de truffe de la Saint-Jean, employé par les Poitevins, s’applique non-seulement à cette espèce, mais à toutes les truffes blanches fraîches Tuber Borchii qui dans cette saison estivale doivent à l’absence de spores mûres la teinte blanche de leur chair. »Exclusif : En juillet dernier, nous nous sommes glissés dans les studios londoniens de l’excellente série britannique. Rencontre – Julien Clerc : « La télé m’a toujours stressé »A l’occasion de sa participation à l’émission Les copains d’abord font du ski sur France 2, nous avons retrouvé le chanteur sur le tournage en Savoie. Découvrez les week-end Truffes noires d’été fraîches au Clos de la Tuilière à Grignan en Drôme Provençal et réserver votre séjour dans le sud de la France dès maintenant. Ainsi, Ronsard lui semblait avoir égalé les plus illustres poètes de Rome : « Ceux qui voudront écrire dans l’avenir, ajoutait-il, seront bien aises de se proposer un si grand personnage pour miroir ; les auteurs qui se sont disposés de traiter discours de poids et étoffe pourront servir de même effet ; et moi-même, faisant en ma jeunesse mon Monophile, puis mes Lettres françaises et ces présentes Recherches, les ai exposés en lumière sous cette même espérance
Monsieur le comte de Hoditz, l’abbé Bastiani ne vous a rien dit que ce que mon cœur sentait pour vous à la nouvelle de tous les malheurs qui vous accablent. C’est une nouvelle expérience que le mérite n’échappe pas toujours aux caprices de la fortune. Tâchez, cher comte, de vous la conserver aux désirs d’un ami qui ne cesse point de prier Dieu, etc. Des nuits insomnieuses, produites par la canonnade continue du Mont-Valérien, qui, tout à coup, a des tirs précipités, ressemblant aux coups de revolver, lâchés par un homme, attaqué à l’improviste. On a de lui des traductions estimées de Térence et de Perse, et quelques pièces de théâtre, entre autres le Bon Fils (1773); mais il est surtout connu par ses Fables en vers, qui parurent pour la 1re fois en 1773, et qui le placent au rang de nos bons fabulistes. Le fils d’un pair de France. Mouiller d’un litre trois quarts d’eau ; assaisonner de 15 grammes de sel, 2 grammes de poivre, une pincée de safran et ajouter 1 fort bouquet garni. Faites chauffer le tout jusqu’à ébullition, puis laissez infuser à couvert une vingtaine de minutes (ce afin que les arômes du zeste d’orange et de la cannelle infusent bien dans la crème)
J’aime au moins à m’en persuader, et votre lettre du 23 de ce mois ne me permet pas d’en douter. Monsieur le comte de Hoditz, votre lettre du 18 de ce mois m’a de nouveau attendri; elle m’a fait sentir toute la rigueur du sort qui vous persécute. Monsieur le comte de Hoditz, Truffes noires d’été fraîches je connais votre cœur, et je sais qu’il m’est très-sincèrement attaché. Je ne puis pas, à la vérité, vous rendre la pareille, mais votre nom et votre mérite ne s’effacera jamais dans mon cœur, où la plus vraie estime et amitié les a gravés en caractères indélébiles et éternels. Oui, mon cher comte, je vous rends cette justice qu’il n’y a pas un mot dans tous vos vœux qui ne parte d’un cœur qui m’est très-sincèrement attaché et dévoué; et vous me rendrez en retour celle d’être persuadé qu’il n’y a ni bonheur ni prospérité que je ne vous souhaite du fond de mon cœur, et que l’intérêt que j’y prendrai sera toujours aussi vif et tendre que le sont les sentiments d’estime et d’amitié que vous me connaissez pour vous. Monsieur le comte de Hoditz, si mon amitié et mes vœux suffisaient pour vous rendre votre première santé et force, il y a déjà longtemps que vous ne compteriez que des jours parfaitement sains, tranquilles et heureux
